Errare humanum est perseverare diabolicum

par cjvpourwissam

Errare humanum est perseverare diabolicum
Errare humanum est perseverare diabolicum
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Errare humanum est perseverare diabolicum
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Petit rappel

par cjvpourwissam

Petit rappel

Petit rappel en 2012 Wissam tombait dans le coma suite à une arrestation policière.

Le procureur s empressait de dire à la presse qu'il n avait pas subit de violences et que les causes de la mort ne sont pas les conséquences de violences policières.

Toutes les conclusions médiatisées de la première autopsie étaient fausses.

Wissam n'était pas sous emprise de drogues lors de son interpellation comme l affirmera à repetition le procureur ce que revellera une expertise indépendante.

Il n y avait aucune anomalie cardiaque comme le revellera une autre expertise indépendante.

Au moins 3 fractures ont été oublié sur cette autopsie pendant que des excroissances toutes petites étaient relevées.

Des marques de strangulation dissimulées en marques de frottements de vetements.

Les mensonges ne sont pas simplement médicales : photos antidatees, disparitions enregistrements audios, faux appel téléphonique, criminalisation ...

5 ans après alors que les mensonges sont prouvés, la famille attend toujours la vérité médicale.

http://www.lamontagne.fr/auvergne/actualite/2012/05/16/autopsie-de-wissam-le-parquet-exclut-une-mort-due-aux-coups-des-policiers-video_164827.html

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Justice et vérité pour Adama Traoré

par cjvpourwissam

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La vie des noirs compte

par cjvpourwissam

La vie des noirs compte

En France, on est plus civilisé.

On assassine en cachette et on acquitte après un long silence.

La barbarie froide de la civilisation.

Nous ne demandons pas la lune mais le droit à une vie digne. Le droit de ne pas être simplement des objets sociaux mais des individus dont les vies comptent et dont les droits ne sont pas considérés comme des privilèges.

Le droit d'avoir des droits.

Nous demandons le droit d'être traités en tant qu'humains, d'être respectés en tant qu'humains, de jouir des memes droits qu'un être humain ici et maintenant !

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On a tout essayé en banlieues sauf ...

par cjvpourwissam

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Ce qu'a probablement vécu Wissam dans le couloir du commissariat

par cjvpourwissam

Ce qu'a probablement vécu Wissam dans le couloir du commissariat

" Par contre, une fois à l’abri du regard des journalistes, dans un couloir de la sous-préfecture, la police a couché, ventre et visage face au sol, un des 5 militants, Txetx Etcheverry, qui est un des principaux animateurs de Bizi.

Il a alors subi un passage à tabac en règle de la part d’un des policiers (que Txetx ne connait pas) qui s’en prenait personnellement à lui, en l’appelant Txetx et en lui disant “tu nous emmerdes, on en a marre de toi etc.”. Le policier a donné de nombreux coups de matraque sur le dos et les jambes de Txetx, et alors que ce dernier était menotté dans le dos et toujours couché face au sol lui a infligé deux violents coups de rangers dans le visage.

Puis il a serré de tout son poids la tête de Txetx sur le sol, de profil, le coup tordu. Txetx a protesté en avertissant que cela lui causait une tension insupportable au niveau des vertèbres cervicales, et qu’il risquait le “coup du lapin”. Malgré cela le policier a continué, aggravant sa pression.

Cette scène inadmissible et incompréhensible (les militants de Bizi n’avaient eu aucun geste ou propos déplacé envers les policiers, et tout se déroulait calmement sinon) s’est arrêtée au bout de quelques minutes.

Les 5 militants ont été placés en garde à vue (ils en sortis à 13H30). Txetx y a été examiné par un médecin, qui a établi un certificat constatant plusieurs lésions et hématomes sur les jambes, les bras, le dos et le visage de Txetx."

http://www.revolutionpermanente.fr/Loi-Travail-Tabassage-en-regle-d-un-militant-menotte-a-Bayonne

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Ne t'inquiète pas

par cjvpourwissam

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Le changement c'est pour quand ?

par cjvpourwissam

Le changement c'est pour quand ?

Lorsque la Sarkozie était renversée et que toutes les instances parlementaires, régionales et départementales étaient acquises aux socialistes, beaucoup pensaient que les injustices qui naissaient des institutions allaient enfin être supprimées.

La voie était pourtant grande ouverte aux grandes réformes.

A rien y comprendre, c'est le contraire qui s'est passé.

Ils ont voulu manipuler leurs électeurs au prix du déshonneur, ils connaissent aujourd'hui la débâcle et le déshonneur.

C'est ce qui s'appelle du perdant-perdant.

La plus grande perdante, c'est la France.

Le positionnement sur l'institution policière des personnes qui ont été au gouvernement ou qu'ils le sont encore n'est pas non plus moralement juste.

En répétant que « lorsqu’un pays est en difficulté, comme la France l’est et comme le monde l’est, nous avons besoin d’institutions fortes » Madame Taubira elle même se rendait complice de ce que l'Etat peut faire de pire.

Ce type de propos est répété par certains policiers « Si nous on baisse la garde, la République s'effondre »....

Le maternalisme Taubira ou le paternalisme policier, ne nous voilera pas les yeux. Ils ne font pas partie de nos amis.

Les mêmes honorent le rôle de certains policiers durant la seconde guerre mondiale.

On serait ainsi tenté de croire que la police a soutenu la résistance.

La réalité c'est que l'institution policière avait collaboré activement avec le régime Nazi avant de retourner sa veste lorsque les puissants changèrent par peur de se faire trucider.

Un traite un jour, un héros aujourd'hui.

Un héros aujourd'hui un traitre demain ...

Les mêmes se vantent aujourd'hui de défendre avec malhonnêteté l'Etat de droit.

C'est quoi l'Etat de droit au fait ?

http://www.vie-publique.fr/…/…/qu-est-ce-que-etat-droit.html

L'inverse de ce que l'on vit quoi !

Ce gouvernement a été élu pour l'espoir et il fait le naitre le désespoir.

Que la justice fonctionne mais pas pour certains criminels !

Il y aurait un fonctionnement normal de la justice, des personnes qui seraient justement condamnées et dont les vies seraient normalement détruites, d'autres dont ceci seraiet une cruauté.

Alors pour reprendre les mots de Maman Taubira, lorsqu’un pays est en difficulté, comme la France l’est et comme le monde l’est, la seule chose dont un peuple a besoin c'est que ses droits soient universellement respectés par les institutions.

C'est la seule prudence, la seule vigilance à avoir.

Si nous on baisse la garde, ce n'est pas la République qui s'effondrera mais nos vies et avec elle l'idée de la France.

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Une analyse différente

par cjvpourwissam

Une analyse différente

"« Il est aujourd’hui de la responsabilité de tous les citoyens (…) de défendre non seulement les manifestants, mais aussi l’État, contre ses propres excès », soulignent Jude, Élisée, Tamar et autres Camille, protestant(e)s et catholiques, se réclamant du Christianisme social. « La loi, l’administration, la police ne sont que des outils, des moyens. Ils ne sont légitimes qu’à des fins justes. »

Croyants et citoyens, nous avons été victimes et témoins, lors du mouvement social en cours, de violences policières dont l’ampleur et la banalisation nous effraient. Si nous prenons la parole, c’est pour dire notre conviction qu’il est aujourd’hui de la responsabilité de tous les citoyens de protester contre ces violences et de défendre non seulement les manifestants, mais aussi l’État, contre ses propres excès.

Nous avons été molestés et traînés à terre lors d’une occupation pacifique de la place de la République, à Paris. Bloqués, gazés et chargés lors de plusieurs cortèges pacifiques et familiaux dans les rues de plusieurs villes. Nous constatons les tentatives de manipulation de la justice et du droit pour réprimer des manifestants et entraver l’exercice de libertés fondamentales. Nous entendons avec effarement le Premier ministre et le président de la République menacer d’interdire les manifestations syndicales. Sans idéaliser le mouvement social, nous sommes révoltés par la disproportion entre notre engagement revendicatif, pacifique, d’ordre politique, et la violence policière systématique, d’ordre répressif. La violence d’une partie des manifestants ne peut en servir d’explication. À de rares exceptions, que nous condamnons, elle ne s’attaque qu’à des biens matériels de portée symbolique. Dans tous les cas, l’État ne peut rentrer dans un raisonnement du « œil pour œil, dent pour dent » qui est l’antinomie de la paix civile qu’il est censé garantir.

Si nous nous exprimons contre les violences policières en tant que militants du christianisme social, c’est parce que notre foi nous rend particulièrement vigilants, en particulier quand les dérives deviennent système. Non que nous prétendions imposer un absolu tiré des textes sacrés. Au contraire, nous pensons que l’État doit avoir clairement conscience qu’il n’est investi d’aucune mission sacrée. Nous, que notre foi confronte au mystère de l’absolu, affirmons que l’ordre social et politique ne doit se référer à aucun absolu, que celui-ci soit religieux, politique, sécuritaire, identitaire, économique. La loi, l’administration, la police ne sont que des outils, des moyens. Ils ne sont légitimes qu’à des fins justes. Ils ne doivent pas être au service de l’ordre tel qu’il est, absolutisé, mais doivent être les outils de la vie démocratique pour relativiser, discuter et décider provisoirement de cet ordre. Ils sont les moyens d’une protection du faible contre le fort. Lorsque l’Etat tente de dire le Vrai et d’instituer par la force ce qu’il prétend être le Juste, il se prend pour Dieu et c’est alors qu’il devient dangereux. Tel est la logique à l’œuvre ces jours-ci. Dans l’histoire, cette logique est allée jusqu’à ce que des théologiens, dans les années 30, ont pu appeler une « démonisation » de l’État. À vouloir se faire Dieu, l’État se fait démon ; à vouloir faire l’ange, il risque de se faire bête. Face au danger, cette mémoire et l’enseignement que nous tirons de la Bible – mais d’autres arrivent bien sûr à la même conclusion par d’autres chemins – est que le citoyen a alors le devoir d’agir pour sauver l’État contre lui-même, le projet de justice et de droit contre la crispation d’un ordre injuste et d’un état d’urgence et de violence permanent.

Les citoyens seraient responsables de l’État ? La violence policière généralisée cherche à prouver le contraire. Tout son effet est de séparer l’État de ses citoyens, les couper de leur responsabilité. La violence policière réduit les corps des manifestants (et des victimes non manifestantes) à un espace à discipliner et à soumettre. Quiconque prétend renégocier l’ordre social devient nécessairement un « casseur », un « irresponsable ». Le manifestant est chosifié en tant que corps menaçant, la politique est niée en tant que parole : le CRS ne discute pas, la violence policière fait taire physiquement, les balles de flash-ball rendent aveugle, les grenades sourd, et les lacrymos muet. Cette logique brute de l’exercice du pouvoir s’ajoute à la violence symbolique d’un pouvoir qui maintient un projet de loi en contradiction avec la parole donnée lors de l’élection et contre l’opinion de la majorité de la population dans un régime politique dont l’étymologie signifie pourtant « pouvoir du peuple ».

Ces violences généralisées sont apocalypse au sens étymologique où elles sont dévoilement. Elles donnent à voir le fondement violent et injustifiable de l’État. Elles nourrissent la perte de confiance généralisée envers la communauté.

On le sait, « oeil pour œil, dent pour dent » est une expression de la Bible. Mais lire la Bible, c’est apprendre à penser contre soi-même. Dans le même livre du Lévitique, un tout autre message est délivré, contestant le premier, qui met au contraire en garde contre la tentation de la vengeance : « Tu ne te vengeras point, et tu ne garderas point de rancune contre les enfants de ton peuple. Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » Penser contre nous-mêmes, rejeter la facilité du « œil pour œil », voilà ce que nous aurions dû faire alors qu’hier nous étions trop silencieux quand les violences et bavures policières s’abattaient sur des personnes parce que noires, Arabes, musulmanes, immigrées ou habitants des banlieues populaires. Rejeter le « œil pour œil et dent pour dent », c’est aujourd’hui appeler à défendre l’État contre la tentation de l’absolu sécuritaire, à le dénoncer lorsqu’il devient injuste, à le combattre lorsqu’il commence à limiter la liberté de penser et de protester, à l’interpeller quand il fait le jeu des radicalismes autoritaires.

L’État est le bien commun des citoyens et ceux-ci sont responsables de l’État. En tant que chrétiens, même si nous avons l’Espérance qu’un jour puisse exister une société sans État, nous voulons pour aujourd’hui assumer résolument cette responsabilité et lorsque l’État se met à frapper pour mater le désir de changement, dire à toutes les victimes notre fraternité et dire à l’État, avec d’autant plus de force, notre révolte.

De quelques Jude, Élisée, Tamar et autres Camille, protestantEs et catholiques, se réclamant du Christianisme social"

Source : https://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/160616/loi-travail-et-repression-policiere-defendre-letat-contre-lui-meme

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mathieu rigouste sur le plateau de ce soir ou jamais

par cjvpourwissam

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