Alors que Wissam n'était pas encore enterré Sarkozy, alors président de la république, est venu à Clermont-Ferrand apporter son soutien à des criminels. Comme si défendre des policiers et soutenir des criminels policiers étaient la même chose.
https://m.youtube.com/watch?v=JerCJKivx2Q
Alors que Wissam venait de mourir Guéant, alors ministre de l'intérieur de la République, crachait sur un mort qui ne pouvait pas se défendre et sur une famille tout juste endeuillée sans le moindre scrupule et en relayant des mensonges.
Nos morts ne sont pas leurs morts, nos vies ne sont pas leurs vies. Nos dignités ne sont pas les leurs.
Ils voulaient nous faire comprendre qu'ils n'étaient pas nos président, nos ministres.
Ils voulaient nous faire comprendre que la République était leur chose.
Le message est parfaitement reçu.
https://m.youtube.com/watch?v=a6hwowNmI3M
Sarkozy et Guéant se sentaient à l'époque forts, puissants, invulnérables, comme les rois de Babylone, comme les pharaons d'Egypte, alors considérés comme des dieux.
Ils se croyaient tout permis.
https://www.lexpress.fr/societe/justice/en-10-ans-claude-gueant-n-a-retire-que-800-euros-de-son-compte_1954290.html
Mais Sarkozy et Guéant ignoraient qu'un pouvoir est d'autant plus fragile qu'il s'écarte de principes sincères.
Avec un levier suffisant , d'un doigt on peut ébranler le monde; mais pour le soutenir il faut les épaules d'Hercule.
Mr Guéant et Mr Sarkozy, vous êtes aujourd'hui connus et reconnus pour ce que vous avez toujours été.