L'attente des vidéos du commissariat pour valider l'une des deux hypothèses

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Si les éléments actuels amènent à penser que c'est bien dans la voiture que Wissam s'est fait étranglé avec sa propre ceinture, une autre hypothèse reste possible même si elle est encore peu probable : il se pourrait qu'il y ait eut une étape intermédiaire dans le garage que l'on pourrait nous cacher et qui aurait duré un certain temps avec la présence de plus de 2 policiers avant que Wissam soit retrouvé dans le couloir où l'OPJ finira par le découvrir avec autour de lui ces mêmes policiers. Cette hypothèse suggère qu'il soit tombé dans le coma dans le garage et non dans la voiture. Cette hypothèse suggère que les policiers de la canine ont attendu d'autres policiers pour une mise à mort dans le garage. Nous attendons l'analyse des vidéos qui infirmera ou validera l'une des 2 hypothèses.

Alors que la police des police nous a donné seulement des retranscriptions écrites, nous attendons de la justice qu'elle nous fournisse les enregistrements vidéos du commissariat pour pouvoir analyser le séquençage temporelle et vérifier que Wissam était bien arrivé inconscient au commissariat et qu'il soit tombé dans le coma alors qu'il n'y avait encore d'autres voitures arrivées. Nous vérifierons et analyserons avec minutie l'ensemble des éléments. A suivre...

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Quand on veut, on peut : une étude au scanner explique la mort de Ramsès III 3000 ans après

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L'attente de la contre-autopsie cristallise le mépris

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Après une première autopsie complètement orientée et complètement baclée, nous avons demandé une contre-autopsie au mois de MARS 2012. Depuis l'attente :

MARS 2012 ...

AVRIL 2012 ...

MAI 2012 ...

JUIN 2012 ...

JUILLET 2012 ...

AOUT 2012 ...

SEPTEMBRE 2012 ...

OCTOBRE 2012 ...

NOVEMBRE 2012 ...

DECEMBRE 2012 ...

JANVIER 2013 ...

FEVRIER 2013 ...

Combien de temps doit-on encore attendre ?

N'y a t-il pas de limites dans l'acharnement à nous mépriser ? Existe-t-il des personnes responsables ayant le respect de la parole tenue ? Existe-t-il des personnes responsables  ayant le sens de la probité ?

Le temps n'adoussit pas. Plus le temps passe, plus il fragilise la société en cristalisant et en légitimant le sentiment de persécution et de mépris.

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Eric Delzant - préfet de la région Auvergne

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« Il faut exécuter quelqu'un en place publique. C'est la méthode du pilori, il s'agit de laver un affront. C'est extrêmement dur à vivre...Mettre quelqu'un plus bas que terre, c'est une forme de lâcheté. Elle a bon dos, la culture du résultat, c'est surtout la culture de la peur et de la terreur. » Eric Delzant - Préfet de la région Auvergne 

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Victoire à la Pyrrhus : « Si nous devons remporter une autre victoire sur les Romains, nous sommes perdus »

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Une victoire à la Pyrrhus est une victoire avec un coût dévastateur pour le vainqueur. L'expression est une allusion au roi Pyrrhus Ier d'Épire, dont l'armée souffrit de pertes irremplaçables quand il défit les Romains pendant sa guerre en Italie à la bataille d'Héraclée en 280 av. J.-C. et à celle d'Ausculum en 279 av. J.-C.

Après cette bataille, Plutarque relate dans un rapport de Denys d'Halicarnasse :

« Les armées se séparèrent ; et on raconte que Pyrrhus répondit à quelqu'un qui célébrait sa victoire que “encore une victoire comme celle-là et il serait complètement défait”. Il avait perdu une grande partie des forces qu'il avait amenées, et presque tous ses amis et principaux commandants ; il n'avait aucun moyen d'avoir de nouvelles recrues (...). Tandis que, comme une fontaine s'écoulant continuellement de la ville, le camp romain se remplissait rapidement et abondamment d'hommes frais, pas du tout abattus par la défaite, mais gagnant dans leur colère une nouvelle force et résolution pour continuer la guerre1. »

À chaque victoire de Pyrrhus, les Romains perdaient plus d'hommes que lui mais ils pouvaient facilement recruter de nouveaux soldats ; leurs pertes affectaient donc beaucoup moins leur effort de guerre que celui de Pyrrhus.

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Un an après la mort de Wissam El Yamni, une enquête à reculons (article)

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Ce que nous apprend l'histoire du bouc émissaire

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L'histoire du "bouc émissaire" nous apprend que l'on ne règle pas les problèmes en les ignorant. Cette histoire tient son origine d'une coutume où jadis un bouc était chargé symboliquement de tous les maux de la société. Ce même bouc était ensuite repoussé au précipice désertique, sacrifiait pour l'intérêt de tous, un intérêt qui était en fait illusoire puisque les problèmes et les sacrifices étaient non résolus, récurrents. Cette coutume est tombée en désuétude, nous nous moquons aujourd'hui de ces responsables qui se sont révellés en réalité irresponsables. Certains heureusement, parmis eux, par clairvoyance ont fini par comprendre qu'il était plus profitable à tous de face à ses responsabilités, peu importe le prix. A la manière de ces "boucs émissaires", Wissam fait partie de ces animaux à qui l'on endosse, à titre individuel l'ensemble des frustrations, l'ensemble des fautes collectives par un lynchage et un assassinat, la justice cherchant à le pousser ensuite dans le désert de l'oubli.

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"Connais toi toi même"

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Nous comprenons la difficulté du métier de juge d'instruction, c'est un métier noble et très important pour la justice, pour le bien de tous. Nous avons beaucoup d'estime pour des juges comme Von Ruymbeke sans qui la France se porterait beaucoup plus mal qu'aujourd'hui. Les arguments présentés doivent être pris en considération, elles semblent vitales à vos yeux pour que l'on facilite vos missions. Nous comprenons que les moyens temporelles et humains sont des freins à l'instruction et à la recherche de la vérité et qu'il est du devoir du politique d'agir en conséquence pour l'améliorer, sachant que rien est facile. Je me souviens d'ailleurs d'un candidat à la présidentielle qui avait fait de la justice sa priorité. Toutefois il serait indécent que d'affirmer que les dysfonctionnements ne sont que des dysfonctionnements structurels. « Connais toi, toi même » disait Socrate.

 

Et c'est bien par amour de la justice et de la vérité qu'il s'avère encore plus nécessaire que ce qui soit fait soit bien fait dès la première fois pour éviter un travail supplémentaire qui jette l'opprobre sur votre volonté d'agir en conséquence pour obtenir la vérité si c'est véritablement ce qui vous intéresse.

 

A la lecture de cet article, voici les questions qui nous viennent naturellement à l'esprit :

 

  • Comment comprendre que les photos qui sont présentées comme étant du 1er janvier montrent un Wissam moins marqué que sur des photos prises les jours suivant sans que cela n'étonne les juges d'instruction, nous forçant à saisir la chambre d'instruction pour qu'elle impose de bien dater les photos ?

     

  • Comment comprendre que l'analyse toxicologique soit fausse (au delà de toutes les lois scientifiques) nous poussant à une contre analyse, que l'heure du prélèvement ne soit même pas communiqué sur la contre-analyse, nous poussant même à demander peut-être une 3ème analyse ?

     

  • Comment comprendre qu'un pré-rapport d'autopsie complètement faux et communiqué au passage à toute la presse évoque une excroissance ,« une absence de fractures » alors que les fractures sont grosses comme un nez au milieu d'une figure (il y a d'ailleurs une fracture au niveau du nez), des insultes, « une excitation » nous poussant à une contre-autposie?

     

  • Comment comprendre que l'on cherche des caméras a un endroit dont on sait qu'il n'y en a pas (la gauthière) et que l'on ne cherche pas des caméras sur les voies de tramway alors qu'elles existent (voies qui ont été empruntées durant le trajet où Wissam a été assassiné) ?

     

  • Comment comprendre que l'on ne cherche pas des témoins sur tout un immeuble donnant sur le parking mais que l'on accorde des moyens pour interroger par 2 fois un formateur de police qui n'est pas de la région (comme l'un des policiers impliqués) dont lui présente la même version des faits erronés pour qu'il récite sa leçon ?

     

  • Comment comprendre que l'on choisisse de donner des analyses toxicologiques ainsi qu'une version des faits plus que contestables (présentées comme vérité) et de ne pas donner un dossier médical, de ne pas donner des photos du 1er jour alors que ces 2 éléments sont primordiales pour l'obtention de la vérité ?

     

  • Comment comprendre que l'on passe son temps à interroger les témoins et les policiers sur les causes de l'arrestation (dont on ne conteste pas) plutôt que de se focaliser sur l'arrestation elle même et ses conséquences dont l'analyse des faits rend les différentes versions incompatibles ?

     

  • Comment comprendre qu'on laisse la police des polices interviewer de manière confuse les témoins donnant ainsi l'impression d'un brouillon et forçant les témoins à être réinterrogé alors que parallèlement l'interview des policiers soient temporelles et bien menées ?

     

  • Comment expliquer qu'on accorde aucuns moyens sur des preuves techniques tels que des analyses ADN sur des vêtements, sur la voiture, mais que l'on accorde des moyens pour prouver que Wissam a téléphoné et a jeté une pierre?

     

  • Comment expliquer que l'on recherche des maladies génétiques sur Wissam au lieu de rechercher l'origine des traces sur le cou, sur l'épaule droite, ainsi que sur la joue droite (ces marques étant très importantes) ?

 

Comprenez qu'avant d'émettre les interrogations présentées ci-dessous nous avons fait confiance, à tort, à la justice. Tout ceci, nous amène à penser que la meilleure manière de vous faire confiance désormais est paradoxalement de ne plus vous faire confiance. Certains juges d'instruction donnent à répétition l'impression que ce n'est pas la vérité et la justice qui vous intéresse mais des intérêts particuliers. Certains sont prêts à détruire toute une famille qui est déjà meurtrie à vie et à relaxer des assassins. C'est en ce sens qu'il faut comprendre : PAS DE JUSTICE PAS DE PAIX. Il ne s'agit pas d'une volonté de vous nuire, de la « hagra », il s'agit d'un cri d'alarme, d'un cri du cœur. 

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« Il n'avait qu'à pas jeter une pierre »

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Quant à ceux qui ont essayé mais qui n'arrivent pas à prouver que Wissam était dans un état de fureur, quant à ceux qui ont essayé mais qui n'arrivent à prouver que Wissam avait fait une crise cardiaque, ils ne leur restent désormais que les mots suivants pour justifier l'innommable :

« Il n'avait qu'à pas jeter une pierre »

A ces esprits simples et à ces cœurs corrompus la fable du renard et des raisins leur est particulièrement destinée :

« Un renard affamé apercevant des grappes qui pendaient à une vigne, voulut s'en emparer et n'y arriva pas. Il s'éloigne alors et, se parlant à lui même : « C'est du raisin vert. » dit-il. » 

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Dindon de la farce

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J'accuse le mélange des genres et la connivence entre le premier médecin légiste et la police des polices dont la communication commence par « cher ami ».

J'accuse la police des polices d'avoir demandé au médecin légiste des analyses alors que c'était au juge de faire la demande. La police des polices n'a pas à influencer « leur cher ami » médecin légiste en lui imposant 4 possibilités de mort avec des faits incomplets et le poussant à en valider une. Vous êtes très fort dans votre malhonnêté, il n'y a rien de glorieux à cela! Vous donnez une version présentée comme une vérité alors qu'elle n'est qu'une hypothèse qui est d’ailleurs plus qu'improbable. Comment en moins d'une semaine, sans autopsie, sans preuves factuelles, à partir de simples mots peut on valider une hypothèse et s'en tenir ??? La police n'a pas à trouver un parfait bon client dans le sud de la France qui sera convoqué 2 fois, de lui avoir présenté une version des faits erronée « fureur paroxystique ». Depuis quand la police des polices cherche à se donner bonne conscience ?? La police des polices n'a pas à imposer une vérité par la loi du grand nombre, son rôle est plutôt d'effectuer des recherches ADN sur les vêtements, de chercher à obtenir les caméras surveillance sur le trajet, d'analyser les images et sons, de mettre en évidence les grosses contradictions sur l'emplacement, la chronologie, les mouvements des policiers, des chiens, des voitures dont l'analyse des évènements les rendent totalement contradictoires et simplement impossible. Le policier assassin ment sur le parking et au commissariat c'est une évidence, pourquoi ne mentirait il pas au moment le plus crucial, l'assassinat ?

J'accuse le médecin légiste d'avoir cherché à faire plaisir par un pré-rapport d'autopsie complètement bâclé à un procureur carriériste, à une juge qui se révèle être le dindon de la farce et à une police des polices dont le métier s'approche plus du secrétariat ou du lobby que de celui de véritable investigateur. 10 jours en soin intensif ne révèle l'état du corps initial. Vous auriez du effectuer une autopsie à la fois sur dossier et sur son corps, qu'auriez vous fait s'il avait fait 3 mois de coma ??Une fois ce pré-rapport d'autopsie donné, ce même médecin légiste s'est enfermé par orgueil et « amitié » dans le rapport final dans le mensonge primaire qui satisfaisait tellement ses « chers amis ». Depuis quand un médecin légiste voit des râles, des insultes sur un corps. Est-ce son rôle ? Depuis quand un médecin légiste minimise des traces de strangulation qui sont pourtant importantes aux yeux des premiers médecins. S'il y a griffure, c'est qu'un homme a été griffé mais si on remarque des marques de strangulation n'est ce pas parce qu'on l'a étranglé ??

 

Nous ne pardonnerons pas la moindre erreur dans la contre-autopsie. Nous ne pardonnerons pas la moindre fuite ou imprécision. On peut comprendre que l'on prenne son temps si l'on s'approche de la vérité mais personne ne comprendra que l'on prenne son temps et que parallèlement rien ne soit fait correctement. Nous n'accepterons pas à la différence des juges, d'être les dindons de la farce. On ne lâchera pas, personne ne nous rendra Wissam, la vérité nous est due !!!!

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